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Violence conjugale — Mythes et réalités

2020. december 05. - Nenézzfélre

Mythe : La violence conjugale est un problème d'ordre privé.

Réalité : La violence conjugale est un problème d'ordre social. Toute personne a le droit de vivre libre de violence, et il est dans l'intérêt général de protéger les victimes. C’est notre devoir civique d’appeler la police si on est témoin de la violence conjugale. On peut signaler la violence soupçonnée aux services d'aide aux familles. Quand il y a un enfant dans la famille, cela est particulièrement important.

 

Mythe : On s'occupe trop de cette affaire : une gifle ou deux ne comptent pas vraiment.

Réalité : Une femme sur cinq a été déjà victime de la violence conjugale en Hongrie. Les gifles devenant de plus en plus fortes, une femme meurt chaque semaine à cause de l'agression de son conjoint dans le pays. 

 

Mythe : Quand l'homme ne bat que sa femme, l'enfant ne sera pas affecté. 

Réalité : Les enfants sont traumatisés quand ils sont témoins de l'agression faite sur leur mère. Même si l'enfant n'est pas physiquement concerné, cela l'affecte gravement. Par conséquent, il vaut mieux pour l'enfant de vivre avec des parents séparés que d'être le témoin de la violence conjugale.

Mythe : Seuls les hommes pauvres et peu éduqués battent leur épouse.

Réalité : La violence conjugale est présente dans toutes les classes sociales, seulement elle est moins visible ou évidente pour l’entourage des familles plus éduquées et aisées.

 

Mythe : Certaines femmes provoquent, donc méritent la violence physique.

Réalité : Il y a des conflits dans chaque relation, mais les adultes mûres, capables d’adopter un comportement responsable, utilisent d’autres méthodes de résolution de conflit que l’agression. Dans le cas de l’agression physique, c’est toujours l’agresseur qui en est responsable, jamais la victime. Le blâme de la victime a des conséquences néfastes.

 

Mythe : Si c'était tellement pire pour la femme, elle quitterait son conjoint.

Réalité : L'agression physique n'est qu'une partie de la violence conjugale. La plupart du temps, il s'y ajoute encore l’agression émotionnelle et économique : la destruction de l’estime de soi, la contrainte de vivre dans une situation financière précaire et l’isolement de ses proches par l’agresseur. Enfin, la victime devient tellement vulnérable, qu’elle aura des difficultés à mettre fin à la relation. Et souvent, la femme s'attache aussi émotionnellement à son agresseur, croyant qu'il changera.

 

Mythe : Les victimes de la violence conjugale ne peuvent pas recevoir de l'aide.

Réalité : Bien que le système d'assistance ne soit pas trop élargi, il existe. On peut mentionner le service local d'aide aux familles, le service téléphonique national en Hongrie pour des femmes victimes de violence (Országos Kríziskezelő és Információs Telefonszolgálat) qui aide les femmes agressées de trouver de refuge dans des maisons protégées. Il y a aussi des organisations civiles qui luttent contre la violence conjugale, comme par exemple Femmes pour les Femmes Ensemble contre la violence Association (Nők a Nőkért Együtt az Erőszak Ellen Egyesület) ou bien l'Association Eszter (Eszter Alapítvány). Il y a plusieurs services d'urgences spécialisés dans la violence conjugale en Hongrie. 

Le contact des services d'urgences :

Budapest +36-70-525-0536 budapest.krizisambulancia@segelyszervezet.hu

Miskolc +36-30-309-1552 miskolc.krizisambulancia@segelyszervezet.hu

Devecser + 36-70-933-8060 veszpremmegye@voroskereszt.hu

Mosonmagyaróvár +36-70-598-1101 ambulancia.movar@gmail.com

Kaposvár + 36-82-812-476 krizisambulancia.kaposvar@gmail.com

Orosháza +36-30-781-7951 oroshaza.krizisambulancia@segelyszervezet.hu

Szolnok + 36-30-305-2919 szolnok.krizisambulancia@segelyszervezet.hu

Zsuzsanna Székely, assistante sociale

 

Source : http://ifjusagi-lelkisegely.hu/cikkek_layout.php?element_id=105

Traduit par Gyöngy Csernyus

révisé par  Annamária Józsa-Tóth

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